Mon histoire en bref
Je m’appelle Laetitia, et ma vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille. Ces expériences m’ont impacté, et guidée vers une finalité positive.
- Ma scolarité a été marqué par la dyslexie et la dysorthographie. L’école n’a donc jamais été un endroit d’épanouissement pour moi, mais plutôt de souffrance. Bien que j’ai pu bénéficier d’un suivi chez une orthophoniste, les retards accumulés et le manque de compréhension des professeurs ont entrainé une perte de confiance en moi et de la démotivation.
Le passage en classe supérieure c’est toujours fait de justesse, jusqu’à ce que je sois orientée en première technologique. Ce fut la première année où j’ai aimé aller en cours. Une méthode d’apprentissage différente et de nouvelles matière l’ont permis de découvrir le plaisir d’apprendre. Il s’est donc écoulé 10 ans avant que je fasse cette découverte, et dans une vie d’enfant, 10 ans c’est long. J’ai ensuite continué mes études jusqu’à un niveau BAC+5.
Néanmoins les croyances comme quoi je ne suis pas capable, pas à la hauteur, qu’il faut faire toujours plus et qu’il faut souffrir pour atteindre ses objectifs se sont inscrites dans mon subconscient et ont régie ma vie d’adulte.
- Avant de pouvoir accueillir nos 2 enfants, mon conjoint et moi avons dû passer par deux parcours de PMA. Ces 2 parcours laborieux et éreintants ne m’ont pas laissé indemne, notamment à cause du manque d’empathie des médecins, les effets secondaires des traitements, les douleurs physiques, le stress des nombreux rendez-vous médicaux et les déceptions, m’ont conduit à des crises d’angoisses.
J’ai longtemps vécu avec jusqu’à ce que je découvre la kinésiologie.
Ma rencontre avec la kinésiologie
La dyslexie et la dysorthographie de mon fils ainé m’ont permis de découvrir les kinésiologie.
Son entrée en primaire a été synonyme de difficultés : séances de devoirs à rallonge, crise de colère à cause de la frustration, perte de confiance en lui, difficultés à trouver un orthophoniste, les rendez-vous avec des spécialistes pour les différents bilans, et finalement le diagnostic de dyslexie et de dysorthographie.
Je me suis sentie coupable et démoralisée à l’idée que mon fils vive la même scolarité que moi. Commence alors un nouveau parcours : les multiples rendez-vous avec les institutrices chaque année, changer d’orthophoniste car cela se passait mal avec la première, l’aider de notre mieux pour les devoirs, le soutenir face à ses difficultés et les déceptions…
Mais malgré notre bonne volonté (la notre comme la sienne), ça confiance ne lui a été grandement mise à mal. On y ajoute la peur de se tromper et d’être jugé, et le résultat de ce cocktail est amer : il a perdu sa curiosité naturelle et le plaisir d’apprendre.
En 30 ans, l’école n’a pas tellement évolué quant à l’accompagnement de ces enfants, principalement à cause d’un manque de formation des enseignants. En effet, très peu d’enseignants se sont formés aux troubles Dys. Ils ne comprennent donc pas leurs particularités, ni leurs problématiques d’apprentissages, ce qui génère de l’incompréhension des deux côtés, et des enfants en souffrance.
L’aide dont j’ai bénéficié enfant a été longue a porté ses fruits, et 10 ans c’est long et une grande partie de la scolarité. J’ai cherché des méthodes d’accompagnement différentes, complémentaires à l’orthophonie, et j’ai découvert la kinésiologie.
La kinésiologie est d’une grande aide pour lui, car cela lui permet de faire des progrès plus rapidement que lorsqu’il n’y avait que le suivi classique. En seulement 2 séances, il avait déjà beaucoup progressé en lecture. Cela l’aide à diminué son stress lié à l’école, les effets de la dyslexie et de la dysorthographie, et à reconstruire se confiance en lui.
La kinésiologie m’a aidé à me libérer de ma culpabilité, et à mieux utiliser mon énergie pour l’aider, tout en respectant les limites de chacun.
Je décide de me reconvertir et de me former à la kinésiologie
Après 20 ans à travailler dans le domaine de la comptabilité, un changement de direction m’a poussée à prendre le chemin de la sortie, et à devenir kinésiologue. C’est le choix du cœur. Je veux permettre aux enfants, mais aussi aux adultes, de bénéficier des bienfaits de la kinésiologie comme ma famille et moi avons pu l’expérimenter.
Pourquoi me faire confiance?
J’ai suivi une formation de 600 heures chez EKIVIE afin de devenir kinésiologue, ainsi que des spécialisations sur des thèmes qui me tiennent à coeur:
- Conception et petite enfance
- les réflexes archaïques
- la kinésiologie animale
Chaque séance est entière personnalisée, car chaque être est unique.
Mon approche repose sur:
- une écoute bienveillante et sans jugement
- mon engagement à t’accompagner en douceur et avec positivité.
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